Autour de l’exposition « Forever Young » à partir du 14 juin 2025
👉 L’Installation : une nouvelle manière de faire de l’art
Des plaques de béton posées sur des balances, des trottinettes érigées en monument, des tissus pliés figurant un chez-soi symbolique, une scène de vie urbaine recrée dans le musée. A côté des photographies et des vidéos, très présentes dans l’exposition, il y a de nombreuses installations. Celles-ci ont pour point commun d’associer différents éléments et de jouer avec l’espace du visiteur. Les élèves découvriront la grande créativité permise par l’installation et les différentes modalités qu’elle peut revêtir selon qu’elle est faite in situ ou à l’atelier, selon qu’elle implique le corps du visiteur ou qu’elle mobilise sa capacité d’observation.
Enjeux de la visite :
— Découverte du vocabulaire plastique de l’installation (Chadine Amghar, Aïda Bruyere)
— Expérimentation des œuvres immersives (Mario D’Szouza, Maïlys Lamotte-Paulet)
— Appréhension du concept « In situ » (Yann Estève)
— Réflexion sur le chez-soi et la manière d’habiter l’espace (Raphaël Maman)
Le corpus des œuvres étudiées (titre et artiste) :
Chadine Amghar, Mésoclimat, 2025
Mario D’Szouza, Home away from home, 2025
Maïlys Lamotte-Paulet, Le terrain c’est 11h, 2025
Yann Estève, Là où dansent les lucioles, 2025
Raphaël Maman, Le Banquet, 2025
Autour de l’exposition « Le genre idéal » à partir du 21 mars 2025
👉 Naturel ou artificiel ?
Pomme, crâne, coquille, charbon, rocher, feuilles… des éléments naturels peuplent l’exposition. Mais qu’entend-on par « naturel » et « artificiel » ? L’enjeu de la visite est de montrer comment les artistes transforment le vivant, l’organique en œuvre d’art.
👉 Dis-moi, de quoi ça parle ?
Portrait, paysage, nature morte, scène de genre, peinture d’histoire : cette visite propose une découverte des cinq genres à travers les œuvres de la collection. L’enjeu du parcours est de montrer en quoi l’art contemporain joue avec ces classifications.