Autour de l’exposition « Forever Young » à partir du 14 juin 2025
👉 Qui Sommes-nous ?
On entre dans l’exposition par le flamboyant visage de Coco de RinneZ, qui rappelle une image bien connue : le portrait de Marylin Monroe, décliné en sérigraphie par Andy Warhol. En incarnant des icônes ou en se transformant en un personnage créé de toutes pièces, Coco de RinneZ se joue des identités, à l’instar de plusieurs artistes de l’exposition « Forever Young ». Au-delà des normes véhiculées par la société, les artistes nous font voir l’identité comme une notion complexe et changeante, à travers les questions d’hybridation culturelle, de fluidité du genre ou de réappropriation de sa propre histoire.
Enjeux éducatifs :
— l’autoportrait
— la biographie et la quête des origines
— la citation et la distance critique vis-à-vis de l’histoire de l’art, la représentation des corps racisés, la notion de « queer », de genre, d’orientation sexuelle / l’engagement politique des artistes, la réflexion sur la société contemporaine
Corpus des artistes évoqués dans le parcours :
Coco de RinneZ
Lassana Sarre
Jordan Roger
Aïda Bruyère
Chadine Amghar
Rebecca Topakian
Autour de l’exposition « Le genre idéal » à partir du 21 mars 2025
👉 Pas mon genre !
Ce parcours permet d’aborder les cinq genres dans une pluralité de médiums. Le visiteur est accompagné dans sa relation à l’œuvre (formation du goût) et son regard distancié (analyse critique). La visite permettra de questionner la fabrication de cette exposition issue d’ateliers collectifs réunissant tous les corps de métiers du musée.
👉 Les formes de l’Invisible
Cette visite s’attache à montrer des œuvres qui questionnent la frontière entre visible et invisible. La trace, l’empreinte, la silhouette sont souvent utilisées par les artistes pour représenter l’absence, l’oubli ou le hors-champ. Dans les installations ce sont les objets qui peuvent servir à matérialiser des choses qu’on ne voit pas, comme les pensées, l’attente ou l’introspection. Paradoxalement, les techniques photographiques peuvent, elles, par le geste artistique devenir créatrices d’images fantomatiques. Enfin en peinture, il y a souvent une dimension politique dans l’acte de donner une forme à ce qui veut être caché.