L’agenda complet du musée

  • dimanche 4 décembre 2016
  • 12h00
    à 19h00
    Agenda des événements Autour de l’exposition de Jean-Luc Verna : « The Record dealer, sous ses doigts se dissout le vernis ! » Sur une proposition de Jérôme Poret

    Une phonothèque imaginée autour de l’exposition de Jean-Luc Verna et conçue à partir de l’activité de labels de disques et d’auteurs, au croisement des arts plastiques et le la musique : Optical Sound,
    Les Disques en Rotins Réunis et Stephen O’Malley.
    Elle est activée sous la forme d’un salon d’écoute et de rencontres les dimanches 6 novembre, 4 décembre et 5 février.
    Un nom en forme de clin d’oeil d’un titre leitmotiv, un sillon aux ramifications toujours nouvelles, car chacune des expositions monographiques de Jean-Luc Verna, porte le même depuis 1995 :
    « Vous n’êtes pas un peu beaucoup maquillé ?
    — Non »

    Carte Blanche au label Les Disques en Rotin Réunis, créé par Arnaud Maguet.

    Gratuit, salon
  • 16h00
    à 17h00
    Agenda des événements Autour de l’exposition de Jean-Luc Verna : « HAS BEEN - SHE WAS DANCING »

    « HAS BEEN - SHE WAS DANCING », une performance de Valeria Giuga, danseuse, chorégraphe et notatrice Laban, en collaboration avec le poète contemporain Jean-Michel Espitallier.

    Création et montage son : Roméo Agid

    « HAS BEEN - SHE WAS DANCING » est la rencontre de La Mère d’Isadora Duncan (1921) et du portrait qu’a fait Gertrude Stein de la chorégraphe dans un texte de 1912. Valeria Giuga transpose cette rencontre en un jeu de par-cœur du poème et de la danse mêlés. Le morcellement et les altérations originels de la danse duncanienne laissent ici la place à une nouvelle gestuelle radicalement épurée.
    Les mouvements des deux interprètes, strictement écrits, sont générés par les mots du texte de Stein, boucles et jeux de permutations, selon le montage qu’en propose Jean-Michel Espitallier.
    La sécheresse rythmique de la pièce, qu’accentue une lecture monocorde doublée d’un métronome, installe bientôt une litanie hypnotique, à la fois sonore (lecture strictement cadencée) et visuelle (chorégraphie strictement écrite). Dans cet agencement, les deux interprètes en perruque ne sont pas sans évoquer quelques personnages beckettiens, drôles mais un peu pathétiques, désespérément appliqués, à l’unisson d’un ballet mécanique.
    Jusqu’à ce que les rythmes de la batterie de Jean-Michel Espitallier viennent enrayer cet ordonnancement et l’emmène vers un finale plus groove et délicatement chaotique.

    « HAS BEEN » est une série de performances autour de la question de la désuétude et de l’oubli. Cet anglicisme signifiant littéralement « a été » est aussi un terme qui sert à qualifier quelqu’un ou quelque chose qui est passé de mode. À partir de cette double interprétation, Valeria Giuga, en collaboration avec le poète contemporain Jean-Michel Espitallier, interroge des esthétiques et des époques passées à travers le répertoire de la création en danse du XXe siècle. En s’appuyant sur des partitions chorégraphiques de la cinétographie Laban telles que L’après-midi d’un faune de Kurt Joos ou La mère d’Isadora Duncan, il s’agit d’entretenir un dialogue vivant avec l’histoire de la danse au travers de l’écrit.

    Has Been
    Production : Compagnie LABKINE
    Partenaires : CDC de Toulouse, MAC VAL-musée d’art contemporain du Val de Marne, Centre National de la Danse de Pantin, Fondation Louis Vuitton, Le Carreau du temple (75)
    avec l’aide de la Spedidam et le soutien de l’ADDA 81

    Gratuit, collection

  • 17h00
    à 18h00
    Agenda des événements Autour de l’exposition de Jean-Luc Verna : Solo dansé par Jean-Luc Verna

    Solo dansé par Jean-Luc Verna, tiré de la pièce Kindertotenlieder de Gisèle Vienne. Création.
    Kindertotenlieder évoque la tradition autrichienne liée aux personnages des Perchten, des figures qui surgissent au milieu de l’hiver pour chasser les démons et punir les âmes damnées. Cette tradition, encore vivante, répond à certains fantasmes qui nous animent, liés à la cruauté, à l’innocence et à l’expiation.
    Autour de l’écriture de Dennis Cooper et de la mise en scène de Gisèle Vienne, Kindertotenlieder développe un cadre propice aux projections de fantasmes qui rappelle le romantisme sombre émanant de maints paysages alpins en hiver. Anja Röttgerkamp transmet à Jean-Luc Verna des moments de cette pièce de 2007 pour la création d’une forme inédite en solo.

    Gratuit avec le billet d’entrée au musée, salle d’exposition temporaire

  • L
  • M
  • M
  • J
  • V
  • S
  • D
  • 21
  • 22
  • 23
  • 24
  • 25
  • 26
  • 27
  • 28
  • 29
  • 30
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
  • 6
  • 7
  • 8
  • 9
  • 10
  • 11
  • 12
  • 13
  • 14
  • 15
  • 16
  • 17
  • 18
  • 19
  • 20
  • 21
  • 22
  • 23
  • 24
  • 25
  • 26
  • 27
  • 28
  • 29
  • 30
  • 31
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
  • 6
  • 7
  • 8